TaureauBâtiment à coque bois, dessiné par Dupuy de Lôme pour éperonner; A cette fin son diamètre tactique était de 200 mètres (diamètre tactique : 210 m). L'éperon est à 2,50 m en dessous de l'eau. Il avait été dessiné pour avoir une tourelle fixe, mais on installa une barbette. Il avait une cheminée. Le bateau avait une très mauvaise tenue à la mer.Wooden-hulled ship, specially designed by Dupuy de Lôme for ramming. Its tactical diameter was 230 yards. She was designed for a simple turret, but received a "barbette" turret. She was reported to be a very bad sea boat.
nom
chantiers
sur cale
lancement
en service
rayé
TaureauToulon10-18636-18658-18661896(Revue Maritime et Coloniale - 1865)
caractéristiques
dimensions60.82 x 14.50 x 5.26 mdéplacement2.588 tpcvitesse12.8 neffectif132 hpropulsion 2 hélices - machine à vapeur Indret de 480 chnarmement1x24 cm sur tourelle (Mod. 1864 ou 1866)blindageceint. 15 ; bat. 12 ; pont 5 cm
historique
5-8-67 : appareille de Toulon pour Cherbourg. 8 au 10-8-1867 : escale à Oran. 7 au 12-8-1867 :: escale à Gibraltar. 14 au 16-8-1867 : escale à Lisbonne. 18 au 20-8-1867 : escale à La Corogne. 21-8-1867 : mouillé à l'île d'Aix. 2-9-1867 : à Lorient. 4-9-1867 : repart vers Brest. 10-9-1867 : arrivée à Cherbourg. 16-8-1870 à mars 1871 : campagne en Manche, puis retour Cherbourg. 1885-90 : en réserve. 25-10-1890 : rayé. 1891 : démolition. (Revue Maritime et Coloniale de 1865) classe BélierLa conception de ces bateaux est largement inspirée du Taureau. On le distingue par ses deux cheminées de front.Design is similar to Taureau. She is identified by its twin front funnels.
dimensions67.20 x 16.05 x 5.65 m (Tigre)66 x 16.19 x 5.82 (Cerbère)66.00(pp) x 16.05 x 5.55 m (Bouledogue)déplacement3.589 t - 3.758 t (Cerbère)vitesse12.3 neffectif4 off. +155 hpropulsion 2 hélices - machine à vapeur Indret de 530 chn, 1530 che - 180/220 t de charbon 2 mats (à 0°) - voilure : 1116 m² (puis 202 m²)armement2x24 cm (sur tourelle)+ 1x4cm de montagne, puis 4 canons revolver ont été ajoutésblindageceint. 22 cm ; bat. 18 cm ; pont 15 cm
1886 : Bâtiment central de défense mobile à Lorient - fait toute sa carrière dans le port de Lorient. 21-3-1897 : vendu à Mr Pittel de Brest - démoli dans l’arsenal.
Bélier
basé à Cherbourg toute sa carrière.
Tigre
9-1874 : rallie Brest. 1876-81 : en réserve. 1893 : démoli à Brest.Rochambeau (ex-Dunderberg)Ce bélier cuirassé américain fut refusé par le gouvernement américain du fait de sa livraison tardive, des problèmes de surchauffe de sa machine, des parois qui éclataient lors des tirs d'artillerie et de son prix final qui avait quasiment doublé. C'est dans ces conditons que la France l'acheta pour empêcher les prussiens de l'acquérir.Construction composite en bois vert avec des couples faibles et des longitudinaux particulièrement massifs, les flancs ont plus de 2 mètres d'épaisseur au couple de coltis. La coque est basse avec un éperon prononcé. Deux mâts (carré et brigantine).
dimensions115.90 x 22.15 x 6.77 (c: 9.93) mfonds plat de 15 m de large au milieu - réduit de 46 m de longdéplacement8 150 tvitesse11.6 (USA) - 15 (Cherbourg)effectif600 hpropulsion 2 machines alternatives avec six corps principaux de chaudière - 1 hélice - 5000 ch - hélice 6,40m de diam.Un gouvernail de 7m² + 1 gouvernail auxiliaire de 4,5m², dit "latéral", mais dont le safran était placé sur l'avant de l'hélicevoilure : 700 m².armementsur plans : réduit percé pour 20c : 16x28cm + 4x 38cm Dahlgreenau lancement en 5-1868 : 2x38cm + 4x28cm1868-Cherbourg : 4x27cm +10x24cm rayésblindageC 9 cm, B 11,4cm ; 11 cm sur le réduit. Les ponts étaient aussi blindés.Éperon de 15,24 cm en bois plaqué de tôles de fer forgé.coquebois
historique / history
2-7-1865 : lancé à New-York. 6-1867 : acheté par la Marine française pour la somme de 10,216,343 francs. 6-7-1867 : quitte New-York avec un équipage américain et un commandant français. 8-1867 : arrivée à Cherbourg. 7-8-1867 : armé officiellement. 15-8-1867 : rebaptisé Rochambeau. 1868 : en refonte à Cherbourg. L'artillerie américaine est remplacée par des 27 et des 24cm. 7-1870 : réarmé. 25-8-1870 : appareillage de Cherbourg pour Frederikshaven et Longeland. 8-9-1870 : rejoint l'escadre à Longeland. 24-9-1870 : quitte l'escadre à Skagen. 29-9-1870 : retour à Cherbourg. 9-11-1870 : en réserve 2ème catégorie. 2-1-1871 : réarmé, appareille de Cherbourg. 3-1-1871 : arrivée à Brest. 24-1-1871 : ordre de mise en réserve 3e catégorie. 7-3-1871 : désarmé. 1872 : rayé. 1874 : démolition .OnondagaConçu comme monitor essentiellement utilisable en rivière ou sur les côtes - dessin de Qunintard pour une coque en fer de 14" au franc-bord.
nom
chantiers
sur cale
lancement
en service
rayé
OnondagaContinental Iron Works, Greenpoint, NY (sous-traitance de John Quintard)28-5-18622-7-1864USA: 24-3-1864FR: 7-18692-12-1904
caractéristiques
dimensions69.68 x 15.60 x 3.80 mdéplacement2 592 tvitesse7 neffectif100 hpropulsion USA : machine de HRC à 4 chaudières de 420 hp - 2 hélicesFR : 250 chnarmementaux USA : 2 tourelles doubles portant chacune 1x15" Dahlgren et 1x8" Parroten FR : 4x24cmblindageC 11cm, B 28cm, P 2cmcoquefer
historique
1-1865 : en service sur la James River pour les forces de l'Union 8-6-1865 : décommissionné. 7-3-1867 : une loi spéciale autorise la revente de l'Onondaga à son constructeur, puis son transfert à la France sous le même nom. 2-9-1867 : remorqué de New-York à Halifax. 15-6-1868 : appareille de Halifax pour Brest, remorqué par l'Européen, pour refonte, 5-1869 : sortie pour essais. 1898 : réserve à Brest. 4-1898 : essais de bon fonctionnement. 2-12-1904 : rayé.