Lutin, Lynx, Tancrède : 1x12 cm rayé + 2x12 cm bronze + 1x4
coque
bois
historique
La Motte Picquet
7-8-1857 : ordonné.
17-8-1857 : attribution du nom.
31-3-1860 : arrivée à Gorée, venant de Grand Bassam.
15-5-1860 : arrivée à Gorée, venant de Grand-Bassam (Cdt Lefèvre-Dubuc).
22-5-1860 : appareillage pour la Côte d'Or.
2-5-1862 : de Gorée à St Louis du Sénégal avec la Bourrasque en remorque.
23-5-1862 : retour vers Gorée.
3-1-1863 : appareillage du Gabon vers la France.
24-2-1863 : arrivée à Cherbourg.
1864 : campagne au Brésil (Cdt Mouchez).
28-4-1866 : appareillage de Maranhao (Brésil) pour Rio.
20-1-1869 : à Puerto-Monte venant de l'île Chloé et de Calbuco (LV Marc-St Hilaire).
27-2-1869 : arrivée à Callao.
11-4-1870 : à Callao (Cdt Jacq-Saint-Hilaire).
1873 : effectuera l'évacuation de 80 religieuses françaises de Malaga suite aux évènements d'Espagne.
8-1878 : appareille de Melbourne pour aller mater la révolte des canaques à Nouméa (CV Olry).
1880 : désarmé.
25-02-1881 : rayé des listes, affecté comme bâtiment central de la défense mobile à Lorient.
1885 : démoli - bâtiment central de la défense mobile.
1889 : atelier central de la flotte.
1892 : démoli à Lorient.
Lutin
5-1861 : début du montage de l'appareil moteur.
25-9-1861 : achèvement du montage et départ pour armement à Rochefort.
3-10-1861 : armé à Rochefort.
16-1-1862 : appareillage de Rochefort pour Montevideo (Cdt Barbotin).
12-3 au 21-4 : Montevideo.
1-8 au 24-12-1862 : Montevideo.
25-8-1862 : sur rade Rio.
10-11 au 27-11-1863 : Montevideo.
8-12-1863 au 5-5-1864 : station à Rio.
26-1-1865 : retour à Rochefort d'Amérique du Sud.
18-7-1865 au 15-5-1866 : campagne Antilles et Mexique.
3-5-1866 : quitte Fort de France pour Amérique du Nord.
24-5-1866 : à New-York, puis côtes américaines et Terre-Neuve.
30-10-1867 : retour à Rochefort, venant de Terre-Neuve.
30-10-1867 : désarmé.
13-2-1868 : rayé.
Lynx
5-1861 : rejoint Rochefort pour achèvement.
16-10-1861 : armé (Cdt de Vassoigne).
1862 : armé à Rochefort.
27-9-1862 : appareillage de Rochefort vers le Cap.
23-11-1862 : appareillage du Cap.
11-12-1862 : arrivée à Saint Denis.
1863-65 : Ile de la Réunion.
6-1863 : recueille à l'île Plate (Seychelles) des survivants de la Perle.
10-4-1865 : arrivée à Tamatave, venant de la Réunion (LV Boucarut).
19-4-1865 : retour à St Denis.
1-12-1865 : désarmé à Rochefort.
21-6-1866 : rayé et démoli à Rochefort.
Tancrède
13-12-1861 : remorqué de Bordeaux à Rochefort par le Boyard.
1862 : division navale des mers de Chine.
2 au 26-7-1863 : première expédition du détroit de Simonosaki (Japon).
28-8 au 9-10-1864 : deuxième expédition du détroit de Simonosaki (Japon).
5-8-1865 : quitte Saïgon (LV Pallu).
21-9-1865 : à Batavia.
8-10-1865 : retour à Bordeaux.
21-6-1886 : rayé.
Coëtlogon
7-8-1857 : ordonné.
17-8-1857 : nommé Coëtlogon.
1860-65 : stationnaire en Nlle Calédonie (il s'échouera à trois reprises pendant la campagne).
12-5-1860 : appareille de Cherbourg pour la Nlle Calédonie.
30-9-1860 : arrivée en Nlle Calédonie.
19-11 au 12-12-1860 : tour de l'île.
3-11-1861 : sur rade de Port de France.
3 au 7-2-1862 : expédition de Wagap avec la Gazelle.
2-6-1862 : retour de Sydney où il a chargé le nouveau gouverneur, M. Guillain.
3-1863 : changement du doublage de la coque à Sydney. On utilise du métal Muntz. Les travaux ont été estimés à
l'équivalent d'une refonte de 8/24e.19-6-1864 : appareille de Port de France pour mater la rébellion des îles Loyalty
avec 200 soldats et le Fulton.
23-5 au 4-10-1865 : de Nouvelle Calédonie à Cherbourg.
1866-67 : désarmé.
15-2-1866 : nouveau doublage - le métal Muntz est remplacé sur les trois virures supérieures par du cuivre rouge.
17-1-1868 : escale à Honolulu, en route pour la Nlle Calédonie.
7-11-1868 : appareille de Nouméa pour Sydney.
1-2-1869 : départ de Nouméa pour Yokohama (CF Didot).
1876 : division navale de Nlle Calédonie.
2-11-1877 : rayé.
1878 : démoli à Rochefort.
classe Marceau
Coque bois et deux mâts verticaux, sur plans de Mangin approuvés en avril 1850.
nom
chantiers
sur cale
lancement
en service
rayé
Marceau
Cherbourg
20-4-1850
19-5-1852
5-3-1853
1-8-1871
Duroc
Cherbourg
29-4-1850
17-6-1852
16-1-1853
13-8-1856
caractéristiques
dimensions
43.21 x 7.80 x 2.93 m
déplacement
450/515 t
vitesse
9.09 (Marceau) ; 9.55 (Duroc)
effectif
62/ 73 h
propulsion
1 hélice - machine Indret (Marceau) ou Cherbourg (Duroc) de 120 chn, 200 chi - gréement en brick
Machines à cylindres oscillants et à engrenages Indret : 2 cylindres : d = 1,1 m ; c = 1 m. Hélice à 2 pales de 2,4 m de diamètre ; puits d’hélice.
En 1854 le Marceau fut utilisé pour expérimenter une hélice double conçue par Mangin qui était constituée de deux hélices bipales placées l’un
devant l’autre qu’il était possible de disposer verticalement derrière l’étambot lorsque le bâtiment naviguait à la voile. En réduisant notablement la
traînée provoquée par le propulseur, cette disposition permettait d’éviter le puits d’hélice, aussi sera-t-elle fréquemment employée par la suite. Ce
type d’hélice qui alliait efficacité et compacité sera d’ailleurs également utilisé à bord de bâtiments dotés de puits car il permettait de réduire les
dimensions de l’ouverture pratiquée dans la carène. La mesure de la force de traction permit d’évaluer la puissance développée par l’hélice à 158
cheff à 25,5 t/mn machine pour une pression de 1,5 atm.
Duroc : 9,97 n à 31 t/mn machine pour une pression de 2 atm et une puissance de 201 chi.
armement
1850 : 2x24
1860 : 4x12cm
1861: 4x16cm
coque
bois
historique
Marceau
20-6-1853 : de Cherbourg au Havre.
9-10-1853 : en Guyane, son commandant (Dupuy) meurt de la fièvre jaune.
24-12-1854 : appareille de Cherbourg pour Aden.
6-1-1855 : escale à Ténériffe.
28-5-1855 : escale à Aden, en route pour la Réunion et Maurice (Cpt Le Fer de la Motte).
18-6-1856 : à Singapour.
4-1857 : à Hong-Kong.
07-1857 : escadre française de Chine.
10-5-1857 : escale à Hong-Kong avec la Capricieuse et le Nisus.
8-1857 : escale à Hong-Kong.
28-12-1857 : participe à la prise de Canton.
20-4-1858 : prise des forts de Pei-Ho.
24-8-1858 : mouillé dans la rivière de Canton.
20-11-1858 : dans la rivière de Canton.
15-1-1859 : rivière de Canton
11-2-1859 : sur rade à Hong-Kong.
13-4-1859 : à Hong-Kong.
6-1859 : en Chine.
1-11-1859 : station navale des Mers de Chine.
11-1861 : fait partie de l'escadre de l'amiral Jurien de la Gravière au Mexique.
1862 : capture d'une goélette mexicaine.
22-11-1862 : débarquement à Tampico.
12-1862 : en réparations à la Havane.
6-1863 : tournée Terre Neuve, Halifax et golfe de St Laurent avec le Catinat et le Berthollet.
18-6-1865 : de Cherbourg en Nlle Calédonie (LV Galache).
27-10-1868 : appareille de Nlle Calédonie pour Sydney.
12-12-1868 : retour en Nlle Calédonie.
20-1-1869 : départ de Nouméa pour Sydney (CF Revault).
1-8-1871 : rayé.
1872-1902 : ponton école des mousses de la marine marchande à Sète.
1880 : renommé Hérault.
1902 : rebaptisé Gabès toujours à l'école des mousses de la marine marchande.
1903 : vendu.
Duroc
12-1852 : appareille de Cherbourg pour Tahiti (Cdt de Lavaissière de Lavergne).
16-5-1853 : escale Ste Croix de Ténériffe.
28-5-1854 : sur rade de Papeete (Cdt Lavaissière de Lavergne).
18-1-1855 : arrivée à Nouméa (NC).
3-2-1855 : mouille à Balad (NC).
18-5 au 14-6-1855 : visite de la côte NO de l'île, puis Tahiti.
13-5-1856 : appareille de Callao pour Tahiti.
5 au 7-6-1856 : escale à Taiohaé (Marquises).
11-6-1856 : arrivée à Papeete.
13-8-1856 : naufragé sur le récif de Mellish à 160 N de la Nouvelle-Calédonie.
extrait des Nouvelles annales de la marne et des colonies - 1855
PERTE DE L'AVISO A VAPEUR LE DUROC.
On lit dans le Moniteur de la Flotte :
“ Une correspondance particulière de Coupang, port de la côte S. de Timor, une des îles de la Sonde, en date du 23 septembre dernier, nous fait connaître le malheur
qui vient d'arriver, dans ces parages dangereux, à un des bâtiments de la marine impériale.
L'aviso à vapeur le Duroc, parti le 31 juillet de Nouméa, port de la Nouvelle-Calédonie, pour se rendre à Timor et effectuer son retour en France, s'est perdu dans la
nuit du 12 au 13 août dernier sur le récif de Mellish, marqué sur les cartes comme étant situé à environ 100 lieues marines de la Nouvelle Calédonie.
Ce récif est à fleur d'eau; la nuit il est impossible de le distinguer, mais, au jour, il apparaît comme un îlot de sable de 200 mètres de large. Lorsqu'on eut perdu tout
espoir de sauver le navire, le commandant fit débarquer successivement sur cet îlot les malades, les vivres, l'équipage et tout ce qu'il fut possible d'emporter de
matériel au moyen des canots et d'un radeau construit à cet effet. Pendant qu'on opérait ce sauvetage, on décidait qu'une partie de l'équipage serait conduit sur un
point habité d'où il put être rapatrié, et ou fil, dans ce but, les dispositions nécessaires.
Le 25 août, tout étant prêt, les embarcations, montées par trente-quatre personnes, et placées sous le commandement de M. Magdeleine, enseigne de vaisseau,
second du bord détaché par le commandant, s'éloignèrent et firent route pour la côte d'Australie dans l'espérance de trouver un bâtiment qui put leur donner
passage.
Le commandant du Duroc, M. Lavaissière de Lavergne. lieutenant de vaisseau, resta sur l'îlot de Mellish avec trente personnes, au nombre desquelles se trouvaient les
malades, le docteur et le commissaire du bord, ainsi que les ouvriers nécessaires pour la construction d'un autre radeau. On leur laissa quatre mois de vivres et un
appareil pouvant fournir 400 litres d'eau douce par jour.
Le second officier du Duroc, M. Augey-Dufresse, enseigne de vaisseau, fut désigné pour accompagner M. Magdeleine, et prit le commandement d'une des
embarcations qui s'éloignèrent.
Elles eurent, pendant les premières heures, à éprouver une mer terrible L'embarcation que montait M. Magdeleine engagea deux fois ; lui-même fut emporté par la
lame, et lorsqu'il revint sur l'eau, il se trouvait à plus de 25 brasses de son canot, il aurait infailliblement péri si, par un hasard providentiel, la mer, dans son
mouvement, n'avait ramené près de lui, une des trois embarcations qui le sauva.
Après cinq jours de la navigation la plus pénible et la plus dangereuse, les naufragés parvinrent à atteindre les côtés de l'Australie, en atterrissant, le 30 août, sur le cap
Tribulation. M. Magdelaine, qui commandait les embarcations, après avoir renouvelé son eau sur ce point, remonta la côte en se dirigeant sur le détroit de Torrès,
n'ayant plus que 70 kilogr. de biscuit pour pourvoir à la nourriture de trente-six hommes. Il longea le littoral, vivant de poissons, de coquillages et de racines.
Le 9 septembre, il arriva au port d'Albany; ne trouvant, en et endroit, aucune trace de navires, il se décida à entreprendre la traversée de Timor. Il fit de l'eau sur l'île
Possession, et après s'être, par l'intermédiaire des naturels, procuré des vivres, il appareilla pour Coupang, où il arriva le 22 septembre dans la soirée.
Il a fait avec ses embarcations une navigation d'environ 600 lieues : c'est un fait unique dans les annales de notre marine...”
NOTE : on trouvera dans la même livraison des Annales, le rapport de mer du second, celui du capitaine ayant été perdu.
Bougainville
Plans de Le Moine approuvés en août 1858 pour un bateau-école annexe du Borda. - cheminée entre 2ème et 3ème mât
nom
chantiers
sur cale
lancement
en service
rayé
Bougainville
Lorient
14-10-1858
30-5-1859
17-6-1859
15-10-1889
caractéristiques
dimensions
57.30 x 9.68 x 3.85 m
déplacement
737 / 868 t
vitesse
10.1 n
propulsion
1 hélice - machine Indret de 120 chn, 443 che - charbon : 100 t
Machine horizontale à fourreau Indret : 2 cylindres : d = 1,12 m (diamètre équivalent) ; c = 0,55 m ; 1 chaudière ; hélice 2 ailes double de 3,2 m ;
puits d’hélice ; 10,12 n à 72,4 t/mn pour une pression de 2,5 atm et une puissance de 437 chi, la consommation étant de 1,46 kg/chi/h.
armement
1859 : 6x16 cm, puis : 6x12cm
coque
bois
historique
11-6-1858 : commandé.
17-6-1859 : bâtiment instruction de l'Ecole Navale.
9-8-1862 : appareille de Brest pour Rochefort au profit de l'Ecole Navale.
15-9-1862 : appareille de Cherbourg pour Brest (Ecole Navale).
20-8-1864 : en réparation machine à Lorient (corvette de l'Ecole navale).
27 au 31-8-1864 : de Lorient au Spithead (Portsmouth).
5-9-1864 : retour sur Cherbourg (CV Norry).
1870 : escadre du Nord.
31-5 au 19-6-1871 : transport et surveillance des insurgés de la Commune à
Brest.
1874 : aviso de flottille, appelée aussi corvette-école, annexe du Borda
(Ecole Navale).
15-10-1889 : rayé.
1890 : démoli à Brest.
classe d'Estaing
Avisos de 2ème classe sur plans de Dutard.
nom
chantiers
sur cale
lancement
en service
rayé
d'Estaing
Toulon
25-3-1858
26-5-1859
26-4-1859
1-8-1876
Latouche-Tréville
Toulon
6-1858
16-2-1860
7-5-1860
1-4-1886
caractéristiques
dimensions
54.20 x 8.40 x 3.26 m
déplacement
695 t
vitesse
10.18 n
effectif
65/90 h
propulsion
1 hélice - machine FCM de 150 chn, 390che - charbon : 112 t - autonomie : 1600 N / 10 n
Gréés en 3 mâts barque ou 3 mâts goélette à hunier.
Machines Ateliers et Chantiers de la Méditerranée : 2 cylindres inclinés à 45° à demi fourreau (fourreau seulement à la partie supérieure des
cylindres) et à engrenages : d = 1,2 m (diamètre du demi fourreau 0,6 m) ; c = 1 m ; 2 chaudières ; hélices dotées d’un puits remplacées (en 1862 à
bord du d’Estaing) par des hélices fixes à 2 ailes double de 2,75 m ; d’Estaing ; 10,17 n à 106 t/mn pour une pression de 2,4 atm et une puissance
de 389 chi, la consommation étant de 1,86 kg/chi/h.
armement
1860 : 2x16cm
1862 : 4x12cm
d'Estaing - 1875 : 4x14cm
Latouche Tréville - 1868 : 2x14cm + 2x12cm
coque
bois
historique / history
d'Estaing
31-3-1860 : arrivée au Gabon , venant de Grand Bassam.
5-4-1860 : retour à Grand Bassam.
29-4-1862 arrivée au Gabon.
7-8-1862 : appareille du Gabon pour Rochefort, avec escales à Fernando Po et Grand Bassam.
11-10-1862 : arrivée à Rochefort - refonte.
2-1-1865 appareille de Rochefort pour Amérique du Nord et Antilles.
24-5-1866 : à New-York, destiné à la station de Terre-Neuve.
12-12-1866 : sur rade Fort de France.
27-12-1866 : appareille de Fort de France pour St Thomas où sévit une épidémie de choléra.
22-3-1867 : à Port-au-Prince.
1868 : à Port-au-Prince, accueille le président Geffrard qui vient d'être destitué.
24-3-1868 : sur rade de St Pierre (Martinique), venant de Haïti et allant à Fort de France (Cpt Boucarut).
17-6-1868 : retour à Brest.
1-7-1868 : désarmé.
18-2-1869 : essais machine à Cherbourg.
17-10-1869 : départ de Brest pour la Martinique (LV Dorlodot des Essarts).
29-10-1869 : escale à Ténériffe.
1-6-1875 : réarmé à Brest.
16-8-1875 : appareille de Brest pour l'Indochine.
1-8-1876 : désarmé à Saïgon (LV Harvard)..
4-8-1876 : transféré à l'Annam avec la canonnière Scorpion.
Latouche-Tréville
5 ou 12-6-1860 : sort de Toulon en remorquant l'Archer et le Pionnier. Le mauvais temps les prend dès la sortie, les obligeant à mouiller dans le port de la Joliette
avec de nombreuses avaries.
1860 à 1867 : affecté à la Division navale de l'océan Pacifique à Tahiti.
28-12-1862 : appareillage de Tahiti pour l'archipel des Pomotous.
18-2-1863 : retour à Tahiti.
7-1863 : arrivée en Nlle Calédonie.
9-12-1863 : appareillage de Sydney où il était en réparation, pour la station de Tahiti.
13-1-1864 : de Papeete à Borabora avec la reine Pomaré et retour le 17.
1-11-1864 : à Papeete (LV Qentin).
28-2-1865 : à Tahiti.
12-10-1865 : retour à Papeete (LV Quentin).
20-10-1865 ; appareille pour Raïatea,
27-10-1865 : arrivée à Papeete.
15-1-1868 : escale à Cherbourg, venant de Thahiti.
27-1-1868 retour à Brest.
23-2-1868 : désarmé.
4-10-1868 : appareille de Brest pour Toulon.
16-2-1869 : appareille de Toulon pour Nice et Constantinople.
17-2-1869 : aborde et coule le paquebot "Prince Pierre Bonaparte" de la Cie Valéry alors qu'il
transporte la dépouille de Foaud Pacha à Constantinople, faisant 12 morts - retour à Toulon.
22-3-1869 : départ de Toulon, affecté à la Division navale de Terre-Neuve - charbon à Mers-el Kebir.
7-4-1869 : arrivée à Cadix pour station avec le Limier.
5-11-1869 : arrivée à New-York, venant de Terre-Neuve.
8-6-1870 : mouille en rade de St Pierre.
15-11-1870 : retour à Brest ; désarmé.
15-4-1873 : réarmé et affecté à Dakar (Division navale de l'Atlantique sud).
11-7-1875 : rentrée en France.
3-8-1875 : désarmé à Brest.
23-10-1876 : nouveau réarmement, affecté à la Division navale du Levant.
1879 : escadre de la Méditerranée.
9-1881 : participe aux opérations contre la Tunisie.
11-2-1882 : retiré du service à Toulon.
1-4-1886 : rayé.
Actif
Aviso de 2e classe, puis remorqueur, commandé en Ecosse.
nom
chantiers
sur cale
lancement
en service
rayé
Actif
Scott & Co, Greenock ((Ecosse)
1860
1861
1862
19-4-1892
caractéristiques
dimensions
40.84 x 6.8 x 3 m
déplacement
323 / 400 t
vitesse
10 n
effectif
69 h
propulsion
1 hélice - machine de 100 chn - gréé en goélette à 2 huniers (voilure 494 m²).
Machine compound Scott de type Woolf à 6 cylindres à pilon groupés 3 par 3 sur le même bras de manivelle : 2 cylindres haute pression : d = 0,3 m
et 4 cylindres basse pression : d : 0,6 m ; c = 0,61 m, les cylindres HP étant verticaux, et les cylindres BP inclinés de part et d’autre ; 2 chaudières
tubulaires à surchauffeurs remplacées par 3 chaudières Belleville à tubes horizontaux au milieu des années 1860 ; pression de vapeur : HP : 6 atm,
191 chi ; BP : 1,6 atm, 400 chi ; condenseur par surface ; hélice bipale double ; 10,4 n à 97 t/mn ; consommation 1,14 kg/chi/h pour 172 chi.
armement
2x4 rayés + 2 pierriers - 1872 : 2x12cm rayés
coque
fer
historique
30-1-1863 : de Cherbourg à la Rochelle.
15-6-1863 : sur rade de Brest, de Concarneau.
4-1-1864 : arrivée à Lorient.
21-4-1864 : de Cherbourg pour Toulon comme garde-pêches (cdt Mallet).
26-5-1864 : appareillage (escadre d'évolution) de Toulon pour Tunis (Cdt Guyou).
30-8-1864 : à Toulon, venant de Tunis.
1867 : escadre de la Méditerranée.
1869 : reclassé aviso de flottille.
21-1-1869 : sortie de bassin à Toulon division des côtes sud de la France (station du Levant).
29-8-1869 : de Bastia pour le Pirée (LV Escudier).
17-6-1871 : arrivée à Toulon, venant de la région niçoise.
19-4-1892 : rayé - remorqueur Rochefort,
1919 : à Rochefort.
Cuvier
Aviso type Pélican modifié.
nom
chantiers
sur cale
lancement
en service
rayé
Cuvier
Nantes
1858
1860
1861
5-11-1892
caractéristiques
dimensions
41.5 x 7.02 x 2.95 m
déplacement
350 tx
vitesse
10.8 n
effectif
74 h
propulsion
1 hélice - machine de 100 chn, 464 che
charbon : 59 t
voilure : 412 m²
armement
2x4 cm + 2 espingoles
coque
fer
historique
15-5-1859 : arrivée à Gorée , venant du Gabon.
17-4-1860 : arrivée à Singapour, venant de Toulon.
22-4-1860 : appareillage pour la Chine.
27-3-1862 : appareillage de St Nazaire pour le Havre.
11-5-1862 : appareille du Havre pour Cherbourg.
17-5-1862 appareille de Cherbourg pour Lorient.
29-5-1862 : arrivée au Havre.
1-10-1862 : appareille de Cherbourg pour la côte occidentale d'Afrique.
11-3-1863 : quitte le Gabon pour la France, avec escale à Grand Bassam et Gorée.
30-5-1863 : arrivée à Cherbourg.
29-12-1863 : arrivée à Gorée, venant de Cherbourg.
2-1-1864 : appareillage pour Madagascar.
5-1865 : au mouillage à St Denis.
10-1865 : arrivée à la Réunion, venant de Maurice.
5-1866 : courrier inter-îles à la Réunion.
4-1870 : appareille de Gorée pour le Gabon.
20-8-1871 : appareille de Dakar.
13 au 18-9-1871: escale à Rio.
28-9-1871 arrivée à Montevideo.
4-7-1872 : appareille de Dakar pour Rochefort.
21-7-1872 : arrivée à Rochefort.
1876-78 : division navale de l'Atlantique Sud.
4-1-1882 : rayé.
1883 : démolition à Rochefort.
Marabout
nom
chantiers
sur cale
lancement
en service
rayé
Marabout
Nantes
8-3-1870
24-9-1870
20-4-1871
26-1-1886
caractéristiques
dimensions
26.10 x 5.70 x 1.38 m
déplacement
108 tpl
effectif
53 h
propulsion
1 hélice - machine Indret de 20 chn - charbon : 14 t - voilure 161 m²
armement
4 espingoles
coque
fer
drôme
1 canot de 6m - 1 baleinière de 6m - 1 youyou de 3,5m
historique
20-4-1871 : entre en armement définitif.
1-5-1871 : entrée au bassin de radoub n° 2 à Lorient.